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Vipère au poing : Commentaire sur Le chapitre 20

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Description du commentaire sur Vipère au poing (Hervé Bazin)

Ce commentaire littéraire propose une analyse approfondie du chapitre 20 de Vipère au poing d'Hervé Bazin, avec une mise en contexte et le commentaire en lui-même, structuré en différentes parties. Des clés pour mieux comprendre quelques-uns des enjeux essentiels de ce roman à scandale.

Le chapitre XX correspond à la réflexion de Jean qui estime que la guerre entre lui et sa mère sera dès lors plus sournoise qu’auparavant car Jean est devenu un adulte et son esprit de révolte lui a permis de démontrer qu’il pouvait tenir tête.

Après une mise en contexte dans laquelle on situe l’extrait dans le reste de l’œuvre, le commentaire composé s’intéresse à la guerre psychologique qui oppose Jean à sa mère – et qui est rendue par des métaphores originales -, puis à leurs points communs. Ensuite, on se penche sur l’évolution de Jean qui, dans cet extrait, s’affirme et fait preuve d’une maturité nouvelle, et sur les motifs de sa révolte. On aborde également le triomphe apparent de la mère sur son fils, avant de conclure.

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Structure de ce commentaire du livre

Texte étudié (1 pages)

Le passage du chapitre 20 de Vipère au poing reproduit
Mise en contexte (1 pages)

Quelques éclairages pour mieux aborder l’analyse de l’extrait
Commentaire (3 pages)

Le texte étudié à la lumière des thèmes de la maturité, de la révolte et des figures de la mère et du fils

À propos du livre "Vipère au poing"

Publié en 1948, Vipère au poing suscita de vives réactions auprès du grand public qui y vit une satire de la condition bourgeoise, des valeurs familiales et de la religion. Ce livre raconte les aventures d'un garçonnet, Jean (dit Brasse-Bouillon) et surtout son insoumission à sa mère, Paule Rezeau (née Pluvignec), une femme sèche et dure. Cette œuvre, clairement inspirée de la vie de son auteur, est le second volet de la trilogie autobiographique de Bazin. La langue très orale du livre, ainsi que sa narration à la première personne, aident le lecteur à pénétrer dans l'univers fascinant de la Belle Angerie et de ses habitants...

Hervé Bazin

Hervé Bazin était un écrivain français, né le 17 avril 1911 à Angers et décédé le 17 février 1996 à Villelongue-d'Aude. Il est surtout connu pour ses romans qui explorent les thèmes de la famille, de la religion et de la sexualité.

Bazin a grandi dans une famille catholique conservatrice et a étudié la littérature à l'Université de Paris. Il a commencé sa carrière d'écrivain dans les années 1940, publiant des romans tels que Vipère au poing en 1948, qui raconte l'histoire d'une enfance malheureuse dans une famille dysfonctionnelle. Le livre est devenu un best-seller et a été adapté pour le cinéma et la télévision.

Bazin a continué à écrire des romans tout au long de sa carrière, explorant des thèmes tels que la famille, la religion et la sexualité. Son livre le plus célèbre, La Mort du petit cheval, publié en 1950, a été salué pour sa description poignante de la vie rurale française.

En plus de son travail d'écriture, Bazin a été un critique littéraire prolifique, écrivant des essais et des critiques pour des journaux et des magazines tels que Le Figaro, Le Monde et L'Express.

Bazin a également été impliqué dans la politique, rejoignant le Parti socialiste dans les années 1970 et servant comme député européen de 1984 à 1989.

Au cours de sa carrière, Bazin a reçu de nombreux prix littéraires, notamment le Prix Goncourt en 1949 pour Les Chemins de la mer et le Prix de l'Académie française en 1972 pour La Confession impudique.

Aujourd'hui, l'œuvre de Bazin est considérée comme une contribution importante à la littérature française du XXe siècle, avec une attention particulière portée à la description des relations familiales et des changements sociaux en France. Son style simple et direct a influencé de nombreux écrivains, et son travail continue d'être lu et étudié dans le monde entier.