À propos de ce résumé
Ce document propose un résumé clair et détaillé du roman Temps glaciaires de Fred Vargas, dont voici un extrait :
« La nécrologie obsède Marie-France depuis qu’elle y a lu le nom d’Alice Gauthier, une inconnue qu’elle avait sauvée d’une mauvaise chute près d’une boite postale. Découvrant dans la poche de son manteau une lettre écrite par cette dernière, Marie-France décide de la poster pour elle. Ce qu’elle ignore, c’est que cette mort n’est pas naturelle : Alice a récemment été retrouvée dans sa baignoire, entièrement habillée et pomponnée, les veines entaillées. Le commissaire Bourlin du 15e arrondissement de Paris, en charge de l’affaire, n’en démord pas. Ce prétendu suicide est suspect : pas de lettre retrouvée, pas d’argent, pas de problèmes connus chez la défunte. D’un autre côté, le temps presse, car le juge veut classer l’affaire. Seuls deux éléments pourraient relancer les investigations : un étrange symbole retrouvé près de la baignoire et un voisin qui a entendu un certain « André » rendre visite à la victime la veille du décès mystérieux. Qui dit symbole dit histoire, aussi fait-on appel au très cultivé commandant Adrien Danglard de la brigade criminelle du 13e arrondissement dirigée par le commissaire Adamsberg. Hélas, Danglard n’identifie pas le signe. »
Une simple lettre qu’une mourante tente en vain de poster se retrouve dans la poche de Marie-France et déclenche une nouvelle enquête du directeur de la brigade criminelle du 13e arrondissement de Paris, Jean-Baptiste Adamsberg. Par les investigations du commissaire, le lecteur découvre les habitudes et les secrets de deux clans : d’une part celui d’une famille murée dans le lieudit « Le Creux », et, d’autre part, un groupe de 700 personnes qui se plait à reconstituer régulièrement les premières Assemblées nationales menées par un Robespierre plus vrai que nature. Le lien entre ces deux affaires ? Des meurtres et des existences figées par le poids d’histoires familiales embourbées dans le sang de la Révolution française.