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Ce document propose un résumé clair et détaillé de Le Mort qu’il faut de Jorge Semprun, dont voici un extrait :« Première partieLes quelques heures libres du dimanche après-midi sont vécues comme un miracle hebdomadaire car elles offrent la possibilité exceptionnelle d’un choix : la plupart choisissent d’aller dormir (« (…) le besoin de néant réparateur semblait prévaloir », p. 14), mais certains préfèrent taire leur épuisement pour retrouver les copains et recréer une communauté. Les déportés échangent quelques mots, des nouvelles du monde et des gestes fraternels : un sourire ou un mégot de machorka. Ils récitent entre eux les bribes de poèmes appris par cœur dans un passé à présent anéanti. Semprun et Kaminsky, l’un des responsables de l’organisation militaire clandestine, conversent moitié en espagnol, moitié en allemand. »Découvrez la suite dans le document.
Pour aller plus loin dans votre compréhension de l'oeuvre de Jorge Semprun, nous vous conseillons aussi de consulter notre Analyse de Le Mort qu'il faut qui propose une présentation de l'auteur et du livre, suivie d'un résumé, d'une analyse des personnages et des clés de lecture.
Ce document propose un résumé clair et détaillé de Le Mort qu’il faut de Jorge Semprun, dont voici un extrait :« Première partieLes quelques heures libres du dimanche après-midi sont vécues comme un miracle hebdomadaire car elles offrent la possibilité exceptionnelle d’un choix : la plupart choisissent d’aller dormir (« (…) le besoin de néant réparateur semblait prévaloir », p. 14), mais certains préfèrent taire leur épuisement pour retrouver les copains et recréer une communauté. Les déportés échangent quelques mots, des nouvelles du monde et des gestes fraternels : un sourire ou un mégot de machorka. Ils récitent entre eux les bribes de poèmes appris par cœur dans un passé à présent anéanti. Semprun et Kaminsky, l’un des responsables de l’organisation militaire clandestine, conversent moitié en espagnol, moitié en allemand. »Découvrez la suite dans le document.
Récit autobiographique paru en 2001, Le Mort qu’il faut relate un des souvenirs les plus marquants deJorge Semprun en décembre 1944, lors de son enfermement à Buchenwald.Otto, un déporté témoin de Jéhovah, intercepte une dépêche venue de Berlin demandant des renseignementssur Semprun. Les semaines précédentes, de nombreuses dépêches similaires avaient menéà des exécutions. Ses amis communistes allemands décident de cacher Semprun parmi les moribondsde l’infirmerie, à côté d’un jeune Français dont il aurait pris l’identité si nécessaire. Mais la note provenaiten réalité de l’ambassadeur d’Espagne à Paris, à la demande de sa famille désireuse d’avoir de sesnouvelles.
ISBN numérique : 9782806220035-RES
Analyse de : Natacha Cerf
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Découvrir l'abonnementCe document a été rédigé par Natacha Cerf
Natacha Cerf est titulaire d'un master 2 en philosophie (Université libre de Bruxelles)
Validé par des experts en littérature
Natacha Cerf est titulaire d'un master 2 en philosophie (Université libre de Bruxelles)