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Ce documpent propose un résumé clair et détaillé du roman Chère Mamie au pays du confinement de Virginie Grimaldi, dont voici un extrait :
"Avec la pandémie, l’extérieur est devenu une source de danger potentiel et permanent. En effet, dans sa neuvième lettre, Ginie compare le fait d’aller au Drive à une aventure de Koh-Lanta. De même, tous les objets venant de l’extérieur sont soumis à un nettoyage intensif et méticuleux. Dans la lettre 12, la narratrice refuse même d’aller chercher dans son garage le colis de vêtements pour son bébé puisque le virus survit pendant neuf jours sur les surfaces."
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Chère mamie au pays du confinement fait écho à un autre roman de Virginie Grimaldi écrit en 2018, soit deux ans plus tôt : Chère mamie. Les titres de ces deux ouvrages sont suffisamment explicites pour que nous comprenions d’emblée qu’il s’agit de romans épistolaires. En effet, les deux œuvres regroupent un ensemble de lettres écrites par « Ginie » pour sa grand-mère dans lesquelles la narratrice rapporte, avec beaucoup d’humour, sa vie quotidienne et sa vie de famille. Cependant, si ces romans ont des thématiques qui concordent, ils peuvent tout à fait se lire de manière totalement indépendante. Aussi pouvons-nous comprendre l’un sans avoir lu l’autre.
En 2019, un nouveau virus mortel est apparu en Chine et s’est propagé sur toute la Terre. Le 17 mars 2020, les Français se confinent pour une durée indéterminée afin d’éviter au maximum que la maladie ne se transmette. Dans le roman que nous allons étudier, le contexte de l’œuvre donne tout son sens à une correspondance puisque l’histoire se situe pendant ce confinement. En effet, durant cette période, la crainte du virus était omniprésente, ce qui a obligé toute la population française à se cloisonner chez elle. De ce fait, les gens ne pouvaient plus voir leurs proches et seuls les mots restaient pour tenter de réduire cet éloignement contraint, forcé et nécessaire. C’est donc à travers ces pages que l’autrice décrit avec humour et jour après jour son quotidien confiné à sa mamie, en tant que petite-fille, mais aussi en tant qu’épouse, en tant que mère et en tant que femme.
Ce document a été rédigé par Catherine Jacquemin
Catherine Jacquemin est née en 1994 à Dijon. Elle commence un cursus littéraire à la faculté et s’intéresse plus particulièrement à la guerre d’Algérie à travers l’analyse des œuvres d’Albert Camus et d’Abdelkader Djemaï. Par la suite, elle se dirige vers un master Métiers du Livre et obtient son diplôme en 2019. Elle arpente alors l’univers littéraire contemporain : elle intègre la production des Doigts qui Rêvent, une maison d’édition spécialisée dans les livres tactiles pour enfants aveugles et malvoyants, pendant un temps, puis découvre le travail éditorial au sein de la célèbre maison d’édition L’Atalante et achève son parcours en travaillant dans une librairie à Épinal. Ces différentes expériences lui permettent d’intégrer de nombreux salons littéraires, notamment ceux de Paris. En même temps touchée par la crise migratoire, Catherine Jacquemin entreprend un nouveau master à distance en FLE (Français Langue Étrangère). À ce titre, elle donnera des cours de français dans des associations afin d’aider les réfugiés à mieux s’intégrer.
Validé par des experts en littérature
Catherine Jacquemin est née en 1994 à Dijon. Elle commence un cursus littéraire à la faculté et s’intéresse plus particulièrement à la guerre d’Algérie à travers l’analyse des œuvres d’Albert Camus et d’Abdelkader Djemaï. Par la suite, elle se dirige vers un master Métiers du Livre et obtient son diplôme en 2019. Elle arpente alors l’univers littéraire contemporain : elle intègre la production des Doigts qui Rêvent, une maison d’édition spécialisée dans les livres tactiles pour enfants aveugles et malvoyants, pendant un temps, puis découvre le travail éditorial au sein de la célèbre maison d’édition L’Atalante et achève son parcours en travaillant dans une librairie à Épinal. Ces différentes expériences lui permettent d’intégrer de nombreux salons littéraires, notamment ceux de Paris. En même temps touchée par la crise migratoire, Catherine Jacquemin entreprend un nouveau master à distance en FLE (Français Langue Étrangère). À ce titre, elle donnera des cours de français dans des associations afin d’aider les réfugiés à mieux s’intégrer.