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L'enthousiasme initial des soldats
Paul Bäumer et ses camarades s'enrôlent avec fierté, influencés par les discours patriotiques de leur professeur Kantorek. Leur jeunesse et leur naïveté les poussent à croire en la gloire du combat. Pourtant, dès leur arrivée sur le front, la réalité les frappe de plein fouet : la boue, la faim et la peur deviennent leur quotidien.
La désillusion et la brutalité du front
Les soldats découvrent rapidement l'absurdité de la guerre. Les combats incessants, les morts inutiles et les conditions inhumaines les transforment. Paul, autrefois idéaliste, devient cynique. La terre, symbole de protection et de destruction, illustre cette dualité : elle abrite les tranchées mais aussi les tombes.
La fin tragique et symbolique
Le roman se conclut sur la mort de Paul, un jour où le front est étrangement calme. Ce dénouement ironique souligne l'absurdité de la guerre : même dans l'accalmie, la mort rôde. Cette fin poignante renforce le message anti-guerre de Remarque.
Pour une vue complète de l'histoire, consultez notre résumé détaillé de "À l'Ouest, rien de nouveau".