Partager ce commentaire
Partager ce commentaire
Pourquoi s'abonner ?
Avec l'abonnement lePetitLitteraire.fr, vous accédez à une offre inégalée d’analyses de livres :
Ce commentaire composé vous fournit une analyse prête à l'emploi, couvrant les thèmes majeurs, les procédés stylistiques et les enjeux tragiques. Une ressource fiable pour préparer vos examens ou travaux sans perdre de temps en recherches.
Rédigé par Carine Roucan, titulaire d'un DEA en littérature française, ce commentaire propose une étude littéraire précise. Il met en lumière les procédés racinien et les enjeux tragiques, avec une approche universitaire reconnue.
Ce commentaire vous guide à travers l'analyse de texte, les procédés littéraires et la structure dramatique de la pièce. Une ressource pour approfondir votre connaissance de l'œuvre et de son auteur.
Phèdre, rongée par une passion interdite pour Hippolyte, avoue son amour dans un monologue déchirant. La scène est marquée par des quiproquos tragiques et une tension dramatique palpable. Racine y déploie toute sa maîtrise du langage et de la psychologie. Pour un résumé complet de l'œuvre, consultez cette ressource.
Ce moment clé révèle l'ampleur du conflit intérieur de Phèdre. Son aveu, mal interprété, scelle son destin. La scène illustre parfaitement les thèmes centraux de la pièce : la fatalité, la culpabilité et l'impuissance face à la passion.
La scène s'articule en quatre temps : l'hésitation initiale, la confession voilée, la prise de conscience tragique et l'appel à la mort. Chaque partie est analysée pour en dégager les nuances et les effets dramatiques.
Racine emploie des métaphores saisissantes, comme celle du « feu fatal », pour décrire la passion de Phèdre. L'ironie tragique et les allusions mythologiques renforcent la dimension universelle de son drame. Les images de tourment et de chaos reflètent son désarroi.
Cette scène crée une tension insoutenable, mêlant pathétique et horreur. Elle souligne l'inéluctabilité du destin et la puissance destructrice des émotions. L'analyse révèle comment Racine manipule le spectateur pour susciter pitié et terreur.
Phèdre est prisonnière d'un amour qu'elle ne peut ni fuir ni assumer. Sa passion, comparée à une maladie, la consume et la pousse vers sa perte. Racine montre comment le destin s'acharne sur ceux qui osent défier les lois divines et sociales.
Le dialogue entre Phèdre et Hippolyte est un chef-d'œuvre d'incompréhension. Chacun interprète les mots de l'autre à travers le prisme de ses propres attentes. Ce décalage tragique accentue l'isolement de Phèdre et son désespoir.
Cette réplique illustre la confusion de Phèdre, déchirée entre raison et passion. Le verbe « s'égarer » souligne son errance morale et émotionnelle. Une phrase qui résume toute l'ambiguïté de son état.
Phèdre ment pour cacher la vérité, mais son langage trahit son trouble. Le verbe « brûler » évoque une passion dévorante, tandis que la mention de Thésée révèle son conflit intérieur. Une déclaration qui sonne comme un aveu voilé.
Cette phrase résume la haine de soi qui consume Phèdre. Elle anticipe le rejet d'Hippolyte et se condamne elle-même. Un moment de lucidité tragique, où elle assume pleinement son rôle de victime et de coupable.
Pour une préparation complète, explorez aussi l'Acte V, où le dénouement tragique atteint son paroxysme. Chaque scène de Phèdre est un modèle de construction dramatique et de profondeur psychologique.
Pour élargir votre compréhension du style racinien, vous pouvez étudier la scène 5 de l'acte V de Britannicus ou le dénouement d'Andromaque. Ces analyses complémentaires vous offriront des perspectives variées sur les techniques dramatiques de l'auteur.
Prêt à maîtriser cette scène clé de Phèdre pour votre examen ? Je veux mon commentaire composé !
Avec l'abonnement lePetitLitteraire.fr, vous accédez à une offre inégalée d’analyses de livres :
Dès 0,99 € par fiche de lecture
Découvrir l'abonnement
Texte étudié
Mise en contexte
Commentaire
Ce document a été rédigé par Carine Roucan
Carine Roucan est titulaire d’un DEA en littérature française (Université de Rouen)
Validé par des experts en littérature
Carine Roucan est titulaire d’un DEA en littérature française (Université de Rouen)