À propos de ce résumé de Il ne faut jurer de rien
Ce document propose un résumé clair et détaillé de Il ne faut jurer de rien de Alfred de Musset, dont voici un extrait :« Van Buck, un négociant, rend visite à son neveu Valentin afin de lui faire comprendre que son comportement dépasse les limites de l’acceptable. En effet, ce dernier vit au-dessus de ses moyens : il passe la majorité de son temps à s’amuser et laisse son oncle payer ses créances. Face à la désinvolture de Valentin, Van Buck s’emporte rapidement. Toutefois, le jeune homme, qui est un orateur d’excellence, a tôt fait de l’amadouer et lui propose de déjeuner avec lui. Son oncle aborde alors le sujet du mariage, que Valentin repousse sans autre forme de procès. Il explique qu’ayant été lui-même l’amant d’une femme mariée, il ne veut jamais se trouver dans la position du cocu. Van Buck, contrarié car il projetait de le marier avec la charmante Mlle de Mantes, proteste autant qu’il peut et finit par le menacer de le déshériter. Valentin lui propose alors un marché : Van Buck se rendra au château de Mantes pour annoncer que son neveu refuse les épousailles tandis que lui-même arrivera de son côté sous un autre nom pour tenter de séduire Mlle de Mantes. S’il arrive à prouver le manque de constance de la jeune femme, il pourra rester garçon. »Découvrez la suite dans le document.
Comédie en trois actes relativement courte, Il ne faut jurer de rien appartient au genre dramatique mineur du proverbe et illustre celui qui lui sert de titre.
Valentin, un jeune homme qui refuse le mariage car il ne croit pas en la fidélité, est confronté à un ultimatum posé par son oncle : prendre épouse ou être déshérité. Il accepte alors de se marier s’il obtient la certitude que sa promise, Mlle de Mantes, est fidèle. Valentin parie avec son oncle que s’il se rend au château de Mantes sous un autre nom, il parviendra à séduire la jeune fille.
Musset livre une pièce comique axée sur l’analyse des relations humaines. Abordant des thèmes plutôt grinçants - la propension à l’inconstance et le libertinage -, il termine pourtant sur une touche d’espoir : il ne faut jurer de rien !